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mercredi 23 août 2023

MA GÉNÉALOGIE : BAILLY-BERNARD-COGGIA-COUROUVE-CRAISSAC-DAUBERT-DIANI-DUTERTRE-ÉON-LETOURNEUX-OLIVIERI-PURZYCKI-REDEL-RICHARD-SOLLACARO-WATRIN





Mon arbre sur GeneaNet : clcourouve

Mes 16 arrière-arrière-grands-parents (AAGP) selon leurs lieux de naissance:
Côté paternel :
1 Girondin (Bailly),
1 Haut-Garonnais (Daubert),
1 Lyonnais (Bernard),
1 Marnais (Watrin),
2 Mosellans (Courouve, Redel),
1 Polonais (Purzycki),
1 Sarthois (Richard). 
Côté maternel : 
4 Corses (Coggia, Diani, Olivieri, Sollacaro),
4 Nantais (Craissac, Dutertre, Éon, Letourneux). 

J'ai repéré, en remontant le plus loin possible dans chaque branche, une trentaine de points d'origines géographiques dans 11 départements français ; donc très largement " Français de souche ":
Ain : Bourg-Saint-Christophe (canton de Meximieux, arrondissement de Bourg-en-Bresse) et Chazey-sur-Ain (canton de Lagnieu, arrondissement de Belley) ;
Charente-MaritimeSaint-Savinien (arrondissement de Saint-Jean-d'Angély) ;
Corse-du-sud (GMM OLIVIERI) :
Arrondissement d'Ajaccio : Ajaccio
Arrondissement de Sartène, canton de Figari : Figari et Pianottoli-Caldarello (Zérubia) ; 
Haute-GaronneCugnaux (canton de Tournefeuille, arrondissement de Toulouse) ; Seysses-Tolosane (canton et arrondissement de Muret) ;
GirondeLormont (canton de Lormont, arrondissement de Bordeaux) ;
Hérault : Montpeyroux (canton de Gignac, arrondissement de Lodève) ;
Loire-Atlantique (GPM ÉON) :
Arrondissements :
 - Ancenis : Bonnœuvre (canton de Saint-Mars-la-Jaille) ; Couffé (canton de Ligné) ; Saint-Géréon (canton d'Ancenis) ; Saint-Mars-la-Jaille.
 - Châteaubriand : Petit-Mars (canton de Nort-sur-Erdre)
 - Nantes : Pont-Saint-Martin (canton de Bouaye) ; Saint-Herblain.
 - Saint-Nazaire, canton de Savenay : Bouée ; Malville.
Meuse :
Arrondissement de Verdun :
canton de Montfaucon d'Argonne : Bantheville, Cunel et Gesnes-en-Argonne ;
canton de Dun-sur-Meuse : Aincreville
MoselleMarsilly (canton de Pange, arrondissement de Metz-Campagne) ;
Metz et Thionville ;
Novéant-sur-Moselle (canton Les Côteaux de Moselle, arrondissement de Metz) :
Sarthe :
Arrondissement de La Flèche, canton de Brûlon : Chantenay-Villedieu, Maigné, Pirmil, Saint-Christophe-en-Champagne et Saint-Pierre-des-Bois ;
VendéeLa Garnache (canton de Challans, arrondissement des Sables-d'Olonne) ;
Pologne : Varsovie ? (patronyme Purzycki), pour 1/16 (6,25 %) de mon ascendance.



Mes trente-deux arrière-arrière-arrière-grands-parents (AAAGP ou 4-aïeux, quadrisaïeux) :

En gras, les patronymes conservés à la génération suivante.

Jeanne Marie Étiennette ALAUX (épouse Daubert), Jean BAILLY, Marguerite BARDIN (épouse Redel), Anne BARJOLLE (épouse Craissac), Caterina BARTOLI (épouse Olivieri), Louis BERNARDJoseph Antoine COGGIAMagdelaine CORTICCHIATO (épouse Sollacaro), Jean CRAISSAC, Jean Nicolas II COUROUVE, Barthélémy Antoine DAUBERT, Giacomo DIANI, Maria Francesca DIANI (épouse Diani), Marie Catherine DRUARD (épouse Watrin), Pierre DUTERTRE, André ÉON, Marie Françoise GAGNEUX (épouse Bernard), Marie GAUDARD/GODARD (épouse Letourneux), Jeanne GAUTEY (épouse Bailly), Louise LEMERCIER (épouse Richard), François LETOURNEUX, Madeleine MÉNÉ (épouse Courouve), Marie Anne MACKINSKA (épouse Purzycki), Marie Catherine MINEAUD (épouse Éon), Marianne NOCETO (épouse Coggia), Louiso OLIVIERI, Melchior PURZYCKI, Dominique REDEL, François RICHARD, Félix Antoine SOLLACARO, Jeanne THIEVIN (épouse Dutertre), Jean WATRIN.

88 patronymes d'ascendants (SOSA) connus (ceux des 32 quadrisaïeux, et 56 au-delà) :

ALAUX, ALBITRECCIA,

BAILLY, BARBÉ, BARBIERI, BARDIN, BARJOLLE, BARTOLI, BASTELICA, BENOISTON, BERNARD, BERNIN, BONNEAU, BOSSARD,

CAHYER, CAPMARTY, CARLES, CHAMPION, CHEVALLIER, COGGIA, COLLIGNON, CONEAU, CORTICCHIATO, COURGEAUD, COUROUVE, CRAISSAC,

DAUBERT, DELAUZE, DEROUET, DIANI (2 fois), DONZELLA, DRILLON, DRUART, DUBOIS, DUGAST, DUTERTRE,

ÉON,

FAVELLA,

GAGNEUX, GAUDARD, GAUTEY, GUILHAUMON, GUILLARD,

HÉAS, HOUDAYER,

JUVIN,

LALLEMENT, LAUVRAY, LÉGER, LEMERCIER, LEPLET, LETOURNEUX/TOURNEUX, LONJON, LOYER, LUNOT,

MACKINSKA, MAIGNE, MAUCLAIR, MÉNÉ, MENORET, MINEAUD, MOIRÉ,  MOISAN, MONGAULT, MORIN

NICOLAS, NOCETO, NOUET, NOUGARÈDE,

OGNON, OLIVIERI,

POITEVIN, PROVOST, PURZYCKI,

RADIGOIS, REDEL, RICHARD,

SALLEBŒUF, SARTELET, SAURIN, SOLLACARO, SOMAIZE, SORET,

TAVERA, THIEVIN,

VÉRON, VIAUD,

WATRIN,

(Ces patronymes sont classés par générations en bas de cette page)


Patronymes alliés aux collatéraux :

Absil,Arnauld,
Barta, Bertola,
Clément, Cloitre,
Fabre,
Garçain,
Humbert,
Jahier, Jardin,
Loison,
Maisani, Marchal,
Paganelli,
Soufflard,
Wisler,
Zigliara.


A / Notices sur mes grands-parents


B / Présentation de ma généalogie à partir des arrière-grands-parents (bisaïeux)


A/ Mes grands-parents :
Frédéric Nietzsche : « On est beaucoup plus l’enfant de ses quatre grands-parents que de ses deux parents : cela vient du fait que dans le temps où nous sommes conçus, les parents ne se sont pas encore stabilisés ; les germes du caractère de nos grands-parents mûrissent en nous . en nos enfants les germes de nos parents. » (Fragment posthume, automne 1887, 9[49]).
Branche paternelle parisienne
Branche maternelle corse et nantaise

Branche paternelle parisienne :

A / 1) PARISIEN-MOSELLAN : Julien-René-Jules COUROUVE,

Né le 3 octobre 1877 au 31 rue de Sambre-et-Meuse à Paris (10e) [Archives de Paris, V4E 3727, vue 15D/16] - décédé au 130 rue du Faubourg-Poissonnière à Paris (10e) le 23 novembre 1957, dessinateur-graveur.
Conscrit classe 1897, 1er bureau, liste principale, matricule  4574 (vue 17/19).

Demeure rue Burnouf, Paris XIXe, en 1901.
RetroNews


Croix de guerre 1914-1918, comme mon grand-père maternel Éon,


Fils de Justin Jean Nicolas Courouve (lien)


Thionville

- - lui-même fils de :
 -- Joseph François  Courouve, né le 6 février 1810 à Thionville (Moselle),



décédé le 2 novembre 1860 à Paris 10e.
 - - - - lui-même fils de Jean Nicolas Courouve né en 1760, vigneron en 1792 puis menuisier,

Signature de Jean Nicolas Courouve sur l'acte de naissance de Joseph François Courouve (1810) :

 - - - - - et de Magdelaine Méné née en 1764.

  Mariage Jean Nicolas Courouve x Madeleine Méné le 12 avril 1792 :
Signatures sur l'acte de mariage

Et de Marie-Thérèse REDEL, née à Metz le 6 février 1819, décédée Boulevard de l'Hôpital à Paris 13e le 3 mai 1869.


Mariage Joseph François Courouve x Marie Thérèse Redel le 7 octobre 1835 à 11 heures à Metz.


Et de Reine Amélie PURZYCKI, née à Paris (5e ancien) le 1er novembre 1857, vue 51/51 (état-civil reconstitué), - décédée après 1928, couturière, puis sans profession, demeurant 91 rue de la Chopinette (Paris, 10e ; devenue rue de Sambre-et-Meuse en 1877), puis 208 rue du Faubourg St Martin (Paris, 10e) et 83 Bd de la Villette (Paris, 10e).

Ferdinand Maröhn, Le peintre de la rue
de la Chopinette, 1849 (PIASA, PARIS)


 - elle-même fille mineure de
 - - Xavier Purzycki né vers 1900 en Pologne - décédé le 9 mars 1859 à Paris (Batignolles ; état-civil reconstitué)
 - - - - - - - - - fils de Melchior Purzycki
 - - - - - - - -- - et de Marie Anne Mackinska
 - - et de Anne Hortense WATRIN, née à Prosnes (Marne, canton de Beine-Nauroy, arrondissement de Reims) vers 1828, décédée à Paris (11e) le 20 juin 1901 (vue 30/31), au 27 rue Morand.
  - - - - - - - - fille de Jean Watrin
 - - - - - - - - et de Marie Catherine Druart.

 -- mariés à Paris le 28 novembre 1843 vue 26/51 (fiche rudimentaire d'état-civil reconstitué)

et acte reconstitué.

 - Sœur d'Auguste Xavier Purzycki, né à Paris (5e ancien) le 12 mars 1855, décédé à Aubervilliers le 4 avril 1894.





       et d'Adélaïde Hortense Purzycki, née à Paris (5e ancien) le 12 janvier 1844, sans profession, veuve de Charles Théodore Wissler, décédée à Paris 10e le 7 février 1927.

* * * Office général de l'imprimerie (Paris), Bulletin général de la papeterie... - 1894 (Année 17, N°3, page 49) - Chambre  syndicale des graveurs en tous genres, distribution des prix, Gravure d'écriture, pierre et métaux, 2e année : 2e prix,  Courouve (René).


A / 2) PARISIEN-MARSEILLAIS : Hélène Marie DAUBERT,

Voir la page spéciale

MON ARRIÈRE GRAND-PÈRE DAUBERT



Branche maternelle corse et nantaise :


A / 3) a) CORSE (Ajaccio) : Magdeleine Jacqueminette Angéline OLIVIERI

(patronyme provenant du prénom "Olivier"), sans profession, née le 12 octobre 1886 à Ajaccio, Corse-du-Sud, décédée le 19 juillet 1985 chemin de Vence, Le Thourounet, à Chateauneuf de Grasse, Alpes-Maritimes.


 - fille de François Marie OLIVIERI, rédacteur des postes et télégraphes, puis commis de Direction des Postes et Télégraphes, né le 20 février 1850 à Pianottoli-Caldarello (Corse-du-Sud).

 - - lui-même frère de :
- - - - - - - Louis Olivieri (Zérubia, 1834 - Bastia, 1903), évêque d'Ajaccio de 1899 à 1903.
 - - - -  - - Joseph Marie Olivieri né le 3 mars 1842.
 - - - -- - - Jean Marie Olivieri, jumeau de François, donc né le 20 février 1850.

 - et de Marie Françoise COGGIA, née à Ajaccio le 12 décembre 1863, décédée à Ajaccio le 14 mai 1900.
 - - elle-même fille de
 - - - - - - Baptiste Coggia, né à Ajaccio le 26 novembre 1821, marchand, décédé à Ajaccio le 2 février 1888.
 - - - et de Jacominette Sollacaro, 37 ans en 1863, décédée à Ajaccio le 14 novembre 1884.

Mariage Olivieri x Coggia le 12 janvier 1885 à Ajaccio.

A / 3) b) - cousine germaine du Dr Alphonse Noël Olivieri, né le 23 avril 1890 à Ajaccio, résidant à Paris en 1910, exempté du service militaire en 1911 pour bronchite spécifique, interne en médecine en 1919, décédé le 10 janvier 1975 (pas à Ajaccio ni à Lourdes), croix de guerre.

 - fils de Guiseppe Mario (Joseph Marie) Olivieri, sous-inspecteur des Postes et Télégraphes, puis inspecteur des Postes et Télégraphes, né à Pianottoli-Caldarello (canton de Serra-di-Scopamène, arrondissement de Sartène, Corse-du-sud) le 13 mars 1842,
  - - - - lui-même fils de Alphonzo Olivieri, né en 1811, propriétaire à Caldarello-Zérubia, puis à Sartène
 - - - - - - - - - - - -et de Diani, née en 1813, épouse légitime.

 - et de Marie Thérèse Garçain, sans profession, née à Ajaccio le 3 janvier 1853.

 - - - - Mariage Olivieri x Garçain le 18 août 1881 à Ajaccio avec comme témoins Jean Baptiste Bonérini, Julien Clinchard.

- Marié en 1921 à Tunis à Magdeleine Louise Agathe Sauvage (selon la mention marginale sur l'acte de naissance).

Membre suppléant du Conseil départemental de l'ordre des médecins de la Mayenne de 1945 à 1950.

 - président du « Bureau des constatations médicales » de Lourdes à partir de 1958.


 - auteur de Y a-t-il  encore de miracles à Lourdes ? 18 dossiers de guérisons, 1950-1969, Paris : P. Lethielleux/Lourdes : Œuvre de la grotte, 1969. Avec la collaboration de Dom Bernard Billet (1919-2012), O. S. B.
 Alphonse Oliviéri ; avec la collaboration de dom Bernard Billet, O. S. B., Y a-t-il encore des miracles à Lourdes ? : 18 dossiers de guérisons, 1950-1969, 2e éd. augmentée d'une conférence du professeur F. Thiébaut, Paris : P. Lethielleux ; Lourdes : Œuvre de la Grotte de Lourdes, 1970.
Dr Alphonse Oliviéri et Dom Bernard Billet, O . B., Y a-t-il encore des miracles à Lourdes ? : 30 dossiers de guérison, 1949-1971, Œuvre de la Grotte de Lourdes. - 3e éd. revue et mise à jour, Paris : P. Lethielleux ; Lourdes : Œuvre de la Grotte, 1974.
Y a-t-il encore des miracles à Lourdes ? : 21 dossiers de guérison, 1949-1978, 4e éd. refondue et mise à jour, Paris : P. Lethielleux ; Lourdes : Œuvre de la Grotte, 1979.
Y a-t-il encore des miracles à Lourdes ? : 22 dossiers de guérison, 1949-1989, 5e édition refondue et mise à jour par le Dr Th. Mangiapan, Paris : P. Lethielleux ; Lourdes : Œuvre de la Grotte de Lourdes, 1990.

Bibliographie :
Sandrine Cogat-Droulez , « Religion, science et « miracles », le cas de Lourdes » , Socio-anthropologie : http://socio-anthropologie.revues.org/160
Vidéographie :
 http://www.ina.fr/video/S707632_001/bureau-des-constatations-des-miracles-bonjour-video.html


A / 3) c) - nièce de Louis Olivieri, né à Zérubia (Corse-du-sud) le 27 décembre 1834 - décédé place de l'Hôtel de Ville à Bastia (Haute-Corse) le 17 mai 1903, curé de St Roch à Ajaccio, chevalier de la Légion d'honneur par décret du 29 décembre 1898, puis nommé évêque d'Ajaccio le 7 décembre 1899, sacré le 18 février 1900 en la chapelle des Lazaristes à Paris (6e). Inhumé dans la cathédrale d'Ajaccio.
            - fils de Alfonzo Olivieri
               et de Marie Magdeleine Diani

Mgr Louis Olivieri

Source numérisée état-civil Bastia, page 151/220.


Début XXe siècle ; merci à Pierre DENAMIEL


A / 3) d) Sœur de Alphonse Jacques Olivieri né le 19 novembre 1892 à Ajaccio, licencié en droit, exempté du service militaire pour endocardite chronique, secrétaire général de la préfecture de l’Orne le 11 juillet 1930 puis sous-préfet d’Argentan du 13 octobre 1931 jusqu’à sa nomination à la sous-préfecture de Béthune le 6 juin 1939. sous-préfet d'Argentan (Orne) autour de 1936, sous-préfet de Béthune du 16 au 17 juillet 1939, puis au Gouvernement général de l'Algérie en 1939 ; président du Conseil de préfecture interdépartemental de Limoges (Haute-Vienne) à partir du 1er août 1945 et jusqu'au moins 1948, officier de la Légion d'honneur, décédé à l'âge de 61 ans le 27 décembre 1953.



 Sœur de Jean Baptiste Alphonse Louis Olivieri, né le 12 octobre 1889 à Ajaccio, répétiteur puis professeur d'italien, bon pour le service armé en 1909 (matricule 1069), sursitaire, sursis annulé en 1914, décédé à Grasse (Alpes-Maritimes) le 28 janvier 1961.

 Sœur de Jacqueminette Baptistine Olivieri, née le 24 juin 1895 à Ajaccio, sans profession, mariée à Don Sauveur Paganelli, décédée le 18 janvier 1984 à Ajaccio.
 


A / 3) e) - Belle-sœur de Don Sauveur Paganelli, (voir l'article en lien).


Village natal du grand-oncle Paganelli, Sainte-Lucie-de-Tallano (Corse du sud)

A / 3) f) - Un de ses cousins était le polytechnicien Jean-Charles Justin Xavier Gille-Maisani,


Mariage Olivieri x Éon : le 17 novembre 1910, à Ajaccio (Corse-du-Sud). Parmi les témoins, Jean Marie Olivieri, 59 ans, percepteur en retraite, oncle paternel de l'épouse, et Édouard Éon, né en 1871 (39 ans), carrossier, frère de l'époux.


A / 4) NANTAIS (6e canton) : Joseph-Henri ÉON, né à Nantes rue de Lamotte-Picquet le 9 septembre 1877 (1E 1375 vue 49) - décédé 3 rue Duplaa à Pau (64) le 19 mars 1976.

Voir la page spéciale détaillée



B / Mes arrière-grands-parents (AGP, bisaïeux)


B / 1a) : page spéciale : Mon AGP Justin Courouve


B / 1b) Reine Amélie PURZYCKI, née à Paris (5e) le 1er novembre 1857 - décédée après 1928, couturière, puis sans profession, demeurant 91 rue de la Chopinette puis 208 rue du Faubourg St Martin et en mars 1929 au 83 Bd de la Villette (10e).

  - sœur de Adélaïde Hortense Purzycki, née le 12 janvier 1844 à Paris (5e ancien), couturière, mariée le 9 mars 1865 à Théodore Charles Wisler, tailleur de limes, décédée le 7 février 1927 200 rue du Fg St Martin, Paris 10e (acte 719 établi sur la déclaration de Roger Barbier, 23 ans, employé 65 rue de Bretagne.

 - sœur de Auguste Xavier Purzycki, né le 12 mars 1855 à Paris (5e ancien), charretier, marié le 2 septembre 1882 à Marie Louis Roussey, menagère.
 - - - - - - deux enfants, Louis Auguste Marius Purzycki, né le 19 septembre 1883 à Paris 19e, classe 1903, matricule 3778.
                                Marie Louise Purzycki, née le 26 décembre 1888 à Paris 19e, épouse de Raymond René Humbert, décédée à l'hôpital Avicenne, 115 rue de Stalingrad, à Bobigny (Seine-Saint-Denis) le 16 juillet 1968. Jacques Brel y décèdera en octobre 1978. Cet hôpital est aujourd'hui au n° 125 de la rue.

- - - -fille de Xavier Paul Purzycki  né en ????, réfugié polonais - décédé le 9 mars 1859 à Paris, Batignolles ; état-civil reconstitué, fichier V3E/D 1243, vue 26/51, et actes reconstitués.
                             - - - lui-même fils de Melchior Purzycki et de Marie Anne Mackinska.
 
 - - - - - et de Anne Hortense WATRIN, née le 18 janvier 1828 à Prosnes (Marne), vue 27G/170, décédée le 20 juin 1901 (vue 30D/31), 27 rue Morand à Paris (11e)
 - - - - - - - - - -  elle-même fille de Jean Watrin (Voititrin sur l'acte de naissance d'Anne-Hortense), né le 31 mai 1789 à Cunel, Meuse, cordonnier
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - et de Marie Catherine Druard, née le 24 mars 1793 à Gesnes-en-Argonne (Meuse)
A. D. Marne



             Mariage Watrin x Druard le 31 octobre 1815 à Gesnes-en-Argonne, (Meuse)

- Mariage Purzycki x Watrin à Paris le 28 janvier 1843 ; fichier V3E/M 847,  vue 26/51 ; acte reconstitué 9530.

Anne Hortense Watrin, veuve de Xavier Purzycki en 1859, s'était remariée avec un Sieur Danguin, puis avec Auguste Jean Baptiste Absil.


B / 2a) voir la page spéciale

 Jules Ambroise DAUBERT (AGP, 1855-1915)



B / 2b) Jeanne Albertine Marie BAILLY, née à Paris (10e) le 11 octobre 1867 (vue 11D/31) passage Sainte-Marie N° 20, sans profession, puis couturière,

- - fille de Ulysse Bernard Bailly, né à Cenon, Gironde, le 23 octobre 1836, vues 20D-21G/26, tourneur en fer puis mécanicien, décédé à Paris, 10e, 19 rue Louis Blanc, le 16 février 1892.
 - - - - lui-même fils de Jean Bailly, né le 11 avril 1808 à Saint-Savivien (Charente-inférieure), 2E 411/414, vue 7D/160, charpentier de navire en 1830, constructeur de navire en 1836, puis journalier, demeurant à Lormont en 1830, à Cenon en 1936, et à Arcachon, Gironde, en 1870.
 - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - lui-même fils d"André Bailly (Baillis), charpentier de navire, né en 1767 à Saint-Savinien,, décédé le 30 janvier 1841 à Saint-Savinien, fils de Pierre Baillis et de Catherine Véron
 - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - et de Marguerite Saurin, née à Saint-Savinien en 1770, décédée à Saint-Savinien le 14 septembre 1848, fille de Michel Saurin et de Françoise Maigne.
                                                   Mariage Bailly x Saurin le 26 novembre 1792 à Saint-Savinien.

 - - - - - - - - - - - et de Jeanne Gautey son épouse, née le 22 novembre 1809 à Lormont (Gironde), vue 137D/187, sans profession, demeurant à Lormont en 1830, à Cénon en 1836, puis revenue à Lormont, Gironde, en 1870,
 - - - - - - - - - - - - - - - - - - elle-même fille d'Arnaud Gautey (Gautier sur l'acte de naissance de Jeanne), né le 13 octobre 1780 à Lormont (Gironde), charpentier de navire, lui-même fils légitime de défunt Jacques Gautey et de Valérie Carles, décédés à Lormont avant le mariage de 1806.

 - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - et de Catherine Thérèse Clement, née le 28 février 1802 à Lormont, décédée le 3avril 1824 à Lormont (Gironde), vue 6D/15. Elle-même fille légitime de Pierre Clément, vigneron, et de Élisabeth Sallebœuf.

                                                      Mariage Gautey x Clement le 23 juin 1806 à Lormont.Vue 53/130. En présence de Pierre Carles, cousin germain de l'époux, d'Arnaux Clément, matelot, 33 ans, frère de l'épouse.

                             Mariage Bailly x Gautey le 26 juillet 1830 à Lormont (Gironde) ; vues 14D-141/191.

- - et de Marie Louise Richard, née le 21 mai 1835 à Brûlon, arrondissement de La Flèche, Sarthe ; vues 43D-44G/350, apprêteuse en lingerie en 1864 puis journalière et piqueuse de bottines puis sans profession.

Brûlon, Sarthe

 - - - - - -  elle-même fille de François Richard, né à Pirmil, arrondissement de La Flèche, le 14 janvier 1793, garçon domestique puis voiturier, décédé le 27 mars 1848 à l'âge de 55 ans,
 - - - - - - - - - - - - fils de Claude Richard, né en 1741, décédé en la commune de Pirmil le
                                     13 Floréal an XI (14 juin 1803) ; vue 114/330.
  - - - - - -- - - - et de de Jeanne Leplé (ou Leplet), décédée à Pirmil, arrondissement de La Flèche (Sarthe) en Floréal ou Germinal an XI, vue 115D-116G/330, elle-même fille de François Leplet et de Jeanne Perrine Mongault.

  - - - - - - - et de Louise Jeanne Lemercier, née à Saint-Christophe-en-Champagne (Sarthe) le 28 Fructidor an XII (15 septembre 1804), décédée à Brûlon (Sarthe) le 27 février 1874 (vue 261/560), journalière puis sans profession, fille de Jean Lemercier (fils naturel de Jeanne Lemercier) et de Louise Moiré (fille de René Moiré et Louise Nouet).

                 Mariage Lemercier x Moiré le 12 juin 1792 à Saint-Christophe-en-Champagne (Sarthe) ; vues 460-461/466. Du côté de l'épouse, présents ses père et mère, frères et soeurs et son oncle.
 - - Mariage Richard x Lemercier le 25 janvier 1823 à Saint-Christophe-en-Champagne (Sarthe) ; vue 107-108/152.

A. D. Sarthe
             Mariage Bailly-Richard le 10 novembre 1870 à Paris, 10e (vue 20G/31). Ce mariage légitima deux enfants nés auparavant, Jeanne Albertine, née le 11 octobre 1867 à Paris 10e, et son frère aîné Georges Ulysse, né le 10 septembre 1864 à Paris, 10e ; Vue 18D/31. Quatre témoins (cf GeneaNet)

- - Mariage Daubert x Bailly le 23 mai 1885 à Paris (10e), leurs parents respectifs présents et consentants ; V4E 6360, vue 25D/31.


B / 3a) François Marie OLIVIERI, né le 20 février 1850 à Pianottoli-Caldarello, frère jumeau de Giovani Mario (Jean Marie), teint brun, déclaré bon pour le service armé en 1870 (matricule 348),
 - - fils de Giacomo Alfonzo Olivieri, né le 18 avril 1812 à Zérubia (Corse-du-Sud), domicilié à Sartène (Corse-du-Sud) en 1870, propriétaire à Sartène en 1885
 - - et de Marie Magdeleine DIANI, née en 1813, domiciliée à Sartène en 1870, décédée à Sartène le 28 novembre 1885.

- Au moins trois frères :
- - Louis (27 décembre 1834 à Zérubia - 1903 à Bastia), curé de la paroisse St Roch puis évêque d'Ajaccio
- - Guiseppe Mario (Joseph Marie), né le 13 mars 1842 à Pianottoli-Caldarello.
- - Giovani Mario (Jean Marie), né le 20 février 1850 à Pianottoli-Caldarello, jumeau de mon AGP François Marie.

Le patronyme Olivieri reste actuellement largement répandu ; une recherche sur Google.com effectuée le 13 mai 2012 fournissait sur ce nom 26 600 réponses.

Mariage Olivieri x Coggia le 12 janvier 1885 à Ajaccio.


B / 3b) Marie Françoise COGGIA, née le 12 décembre 1863 à Ajaccio, décédée à Ajaccio le 14 mai 1900.
 - - - - - - fille de :
 - - - - - - - - Baptiste Coggia, né le 25 novembre 1821 à Ajaccio, décédé à Ajaccio le 2 février 1888, fils de Joseph Antoine Coggia, né en 1795 à Ajccio, décédé le 9 mars 1867 à Ajaccio, marin, et de Marianne son épouse, marchand puis négociant et propriétaire,
 - - - - et de  Jacominette Sollacaro, née en 1826, propriétaire et négociante, décédée à Ajaccio le 14 novembre 1884, elle-même fille de Félix Antoine Sollacaro, né le 11 octobre 1799 à Ajaccio (acte du 15/10/1811), marin, décédé à Ajaccio le 6 mai 1870, et de Madeleine Corticchiato née en 1802.

                  Mariage Sollacaro x Corticchiato le 5 août 1824 à Ajaccio. Témoins : Sylvestro Mattéi, 36 ans ; Antonio Prospéri, 23 ans ; Gio Maria Poggi (d'après les signatures ; les prénoms sont francisés dans l'acte)

        Mariage Coggia x Sollacaro le 6 décembre 1845 à Ajaccio, les parents présents et consentants ; parmi les témoins Joseph Siciliano, cousin germain de l'épouse.

Mariage Olivieri x Coggia le 12 janvier 1885 à Ajaccio.


B / 4a) Édouard Jean Joseph  ÉON, né le 18 octobre 1842 à Nantes, 6e canton (vue 54/63), menuisier
 - - fils de Joseph Michel Éon, né le 6 octobre 1815 à Saint-Herblain (Loire-Atlantique), vue 15G/21, menuisier
  - - - - - - - lui-même fils de André Éon, laboureur, né à Bouée (Loire-Atlantique) en 1789, puis roulier (voiturier), décédé le 15 avril 1827 à Nantes, 1er. Fils de Pierre Éon et de Françoise Benoiston.
  - - - - - - - - - - - - -  et de Marie Catherine MINEAUD, tailleuse puis serveuse, née à Saint-Herblain le 24 novembre  1788, fille de Fidèle Mineaud (décédé à Saint-Herblain le 21 janvier 1789), sabotier, et de Marie Bossard (décédée à Saint-Herblain le 24 Prairial an XII), rentière, décédée le 9 juin 1866 à Nantes, 5e canton.

                                         Mariage Mineaud x Bossard e 10 novembre 1778 à Saint-Herblain.

                                Mariage Éon x Mineaud le 21 février 1811 à Saint-Herblain ; vue 3D-4/14.

 - et de Henriette Eulalie Craissac, née le 13 février 1816 à Nantes, 6e canton, vue 15G/113
 - - - - - - elle-même fille de Jean Craissac, né en 1770 à Montpeyroux (Hérault, district de Lodève) plâtrier en 1794, puis rentier, décédé le 19 février 1860 à Nantes (5e canton), fils de Jacques Craissac et de Anne Delaure,

             Mariage Craissac x Delaure le 8 novembre 1758 à Montpeyroux, Hérault.

 - - - - - - - - - - - - -  et de Anne Barjolle, née le 22 mars 1771 à Pont-Saint-Martin (Loire-Atlantique), lingère en 1794, décédée le 19 juin 1838 à Nantes (6e canton), elle-même fille de Damien Barjolle, garde de la forêt de la Meilleraye, et de Anne Courgeaud.
                                    
                   sœur de Élisabeth Craissac, née le 7 Vendémiaire an XII (30 septembre 1803) à Nantes, 17e section, rue Rubens.
                    sœur de Jean Craissac, né le 23 septembre 1806 à Nantes, 3e division.
                    sœur de Virginie Clarice Craissac, née le 23 septembre 1806 à Nantes, 3e division.
                    sœur de Jacques Craissac, né le 17 décembre 1810 3 rue de Gigant à Nantes, 6e canton ; vue 118/137.
                    sœur de François Hilarion Craissac, né le 1er mars 1813 à Nantes, 6e canton.

               Mariage Craissac x Barjolle le 9 Frimaire an III (29 novembre 1794) à Nantes,
                   section La Halle, Vue 23G-D/93. Jean Craissac alors domicilié rue Rubens,
                  Anne Barjolle rue Crébillon. Témoin : Hilarion Barjolle, 22 ans, menuisier,
                  frère de la future.

Mariage Éon x Craissac : le 3 janvier 1842 à Nantes, 6e canton. Vue 2G/61. Témoins : Jean Craissac, plâtrier, 45 ans, frère de l'épouse, Jacques Craissac, plâtrier, 31 ans, frère de l'épouse


B / 4b) Amélie Athalie Marie DUTERTRE, tailleuse, née le 24 décembre 1847 à Nantes (5e canton), vue 63D/65.
- fille de Mathurin Joseph Alexis Dutertre, né le 13 janvier 1819 à Riaillé (Loire-Atlantique, arrondissement d'Ancenis), charpentier, demeurant rue du Pas Périlleux à Nantes, 3e, en 1847,
 - - - - - - lui-même fils de Pierre Dutertre, charpentier, né à Petit-Mars le 26 septembre 1775, domicilié à Riaillé en 1808,
                                       - - - lui-même fils de Pierre Dutertre (fils de René Dutertre et de Mathurine Bonneau), originaire de la commune de Petit-Mars, décédé à Riaillé le 15 décembre 1806 (vue 14/14)
                                                          - - - et d'Anne Coneau née le 13 juillet 1755 à Saint-Herblon, décédée le 12 mars 1837 à Riaillé

                                Mariage Dutertre x Coneau le 29 août 1775 à Saint-Herblon.

                                et de Jeanne Julienne Thievin, née à Bonnœuvre (Loire-inférieure, arrondissement d'Ancenis, canton de Saint-Mars-la-Jaille) le 1er mars 1789, décédée à Riaillé le 30 août 1823 (vue 5G/10) ; beaux-frères de la défunte : Julien Dutertre,39 ans, laboureur, et Jean Dutertre, 35 ans, journalier.

                                      - - elle-même fille de Pierre Thiévin (fils de Pierre Thievin et Marie Juvin), décédé à Bonnœuvre le 14 avril 1807
                                                                et de Anne Champion  (fille de Pierre Champion et d'Anne Morin)
                                       Mariage Thievin x Champion le 12 novembre 1737 à Riaillé.

                                Mariage Thievin x Champion le 9 février 1773 à Riaillé. Vue 5/20.

- - - - - - - Mariage Dutertre x Thievin le 21 novembre 1808 à Bonnœuvre ; vue 5G/6 ; en présence de Jean Dutertre, 21 ans, laboureur, frère de l'époux.
 
- et de Véronique LETOURNEUX, née le 11 janvier 1815 à Couffé (Loire-Inférieure, arrondissement d'Ancenis, canton de Ligné), débitante de vin puis ménagère, demeurant 19 rue Crébillon à Nantes, 5e en 1847.
 - - - - - Mariage Letourneux x Gaudard le 19 février 1809 à Couffé (Loire-Inférieure) ; vues 2D-3G/7

Mariage Dutertre x Letourneux le 11 janvier 1847 à Nantes, 5e canton ; vue 6G/64.


Patronymes par générations :

En gras, les patronymes conservés à la génération suivante.

G 9 : Treize 7-aïeux sur 256 : Antoine CRAISSAC, Florent DUBOIS, Charles ÉON, Pierre ÉON, Nicolas LALLEMENT, Anne MABILLE (épouse Dubois), Lucie MASSIN (épouse Lallement), Jean MOIRÉ, Marie MOISAN (épouse Pierre Éon), Antoinette NOUGARÈDE (épouse Craissac),  Catherine ROUSSEAU (épouse Moiré), Marie SORET (épouse Charles Éon), Michel WATRIN.


G 8 : Cinquante-quatre 6-aïeux sur 128 : Pierre BAILLY (Baillis), Christophe BERNARD, Jean BENOISTON, Madeleine BERNIN (épouse Leger), X ALBITRECCIA, Mathurine BONNEAU (épouse Dutertre), Pierre BOSSARD, Marie CAHYER (épouse Godard), Valérie CARLES (épouse Gautey), Pierre CHAMPION, Pierre CLEMENT, Giuseppe COGGIA, Jean CONEAU, Jean CRAISSAC, Catherine DEGUY (épouse Lallement), François DELAUZE, René DEROUET, Gilles DRUARD, Anne DUBOIS (épouse Watrin), René DUTERTRE, Marie ÉON (épouse Michel ÉON), Michel ÉON, Gabriel GAGNEUX, Jacques GAUTEY, Pierre GODARD/GAUDARD, Marguerite GUILHAUMON (épouse Craissac), Jeanne GUILLARD (épouse Benoiston), Marie HÉAS (épouse Derouet), Marie JUVIN (épouse Thievin), Gilles Nicolas LALLEMENT, Jean LEGER, François LEPLET, Jean LETOURNEUX, Catherine LIEGÉ (épouse Sartelet), Anne LONJON (épouse Delaure), Jeanne LOYER (épouse Letourneux), Marie LUNOT (épouse Richard), Françoise MAIGNE (épouse Saurin), Françoise MENORET (épouse Nicolas), Jean MINAUD/MINEAUD, René MOIRÉ, Jeanne Perrine MONGAULT (épouse Leplet), Anne MORIN (épouse Champion), Jacques NICOLAS, Louis NOUET (épouse Moiré), Mathurine PROVOST (épouse Coneau), Marie RADIGOIS (épouse Bossard), Joseph RICHARD, Elisabeth SALLEBŒUF (épouse Clement), François SARTELET, Michel SAURIN, Eulalie Marie SOMAIZE (épouse Bernard), Pierre THIEVIN., Catherine VÉRON (épouse Bailly), Brigitte VIAUD (épouse Minaud), Louise VIVIER (épouse Gagneux), Jean WATRIN, Giulia X (épouse Coggia).


G 7 : Cinquante-sept 5-aïeux (AAAAGP) sur 64 (7 inconnus) :
Antoine ALAUX, Agathe Marie ALBITRECCIA (épouse Sollacaro), André BAILLY, Jeanne BARBÉ (épouse Bardin), Jean BARDIN, Damien BARJOLLE, Giacomo BARTOLI, Catherine BASTELICA (épouse Corticchiato), Françoise BENOISTON (épouse Éon), Michel BERNARD, Marie BOSSARD (épouse Mineaud), Marie Antoinette CAPMARTY (épouse ALAUX), Anne CHAMPION (épouse Thievin), Catherine Thérèse CLEMENT (épouse (Gautey), Gio Batta COGGIA, Marie-Thérèse Collignon (épouse Courouve), Anne CONEAU (épouse Dutertre), Étienne CORTICCHIATO, Anne COURGEAUD (épouse Barjolle), Jean-Nicolas COUROUVE/COUROURE, Jacques CRAISSAC, Jean DAUBERT, Anne DELAUZE (épouse Craissac), Marie DEROUET (épouse Letourneux), Catherine DETTOU (épouse DAUBERT), Marie Nicolette DONZELLA (épouse Coggia), Louise DRILLON (épouse Gagneux), Claude Antoine DRUARD, Pierre DUTERTRE, Pierre ÉON, Benoit GAGNEUX, Jacques GAUDARD/GODARD, Arnaud GAUTEY, Marie Jeanne LALLEMENT (épouse Druard), Marie LAUVRAY (épouse Redel), Marie LÉGER (épouse Bernard) Jean LEMERCIER, Jeanne LEPLET (épouse Richard), Jacques LETOURNEUX, X MACKINSKI, François MÉNÉ, Fidèle MINEAUD/MINAUD, Louise MOIRÉ (épouse Lemercier), Marie NICOLAS (épouse Gaudard), Paul Antoine NOCETO, Alfonzo OLIVIERI, X PURZYCKI, Étienne REDELClaude RICHARD, Anne SARTELET (épouse Watrin), Marguerite SAURIN (épouse Bailly), Jean André SOLLACARO, Angélique TAVERA (épouse Noceto), Pierre THIEVIN, Henry WATRIN, Bianca Maria X (épouse Bartoli), Maria Felice X (épouse Olivieri), X XX (épouse Mackinski), .X XX (épouse Purzycki).


G 6 dernier niveau complet : Mes trente-deux arrière-arrière-arrière-grands-parents (AAAGP ou 4-aïeux, quadrisaïeux) :
Jeanne Marie Étiennette ALAUX (épouse Daubert), Jean BAILLY, Marguerite BARDIN (épouse Redel), Anne BARJOLLE (épouse Craissac), Caterina BARTOLI (épouse Olivieri), Louis BERNARD, Joseph Antoine COGGIA, Magdelaine CORTICCHIATO (épouse Sollacaro), Jean CRAISSAC, Jean Nicolas II COUROUVE, Barthélémy Antoine DAUBERT, Giacomo DIANI, Maria Francesca DIANI (épouse Diani), Marie Catherine DRUARD (épouse Watrin), Pierre DUTERTRE, André ÉON, Marie Françoise GAGNEUX (épouse Bernard), Marie GAUDARD/GODARD (épouse Letourneux), Jeanne GAUTEY (épouse Bailly), Louise LEMERCIER (épouse Richard), François LETOURNEUX, Madeleine MÉNÉ (épouse Courouve), Marie Anne MACKINSKA (épouse Purzycki), Marie Catherine MINEAUD (épouse Éon), Marianne NOCETO (épouse Coggia), Louiso OLIVIERI, Melchior PURZYCKI, Dominique REDEL, François RICHARD, Félix Antoine SOLLACARO, Jeanne THIEVIN (épouse Dutertre), Jean WATRIN.


G 5 : Mes seize arrière-arrière-grands-parents (AAGP ou trisaïeux) : Ulysse Bernard BAILLY, Anne BERNARD (épouse Daubert), Baptiste COGGIA, Jean François COUROUVE, Henriette Eulalie CRAISSAC (épouse Éon), Jean Marie Guillaume Augustin DAUBERT, Marie Madeleine DIANI (épouse Olivieri), Mathurin  Joseph Alexis DUTERTRE, Joseph Michel ÉON, Véronique LETOURNEUX (épouse Dutertre), Alfonzo OLIVIERI, Xavier Paul PURZYCKI, Marie Thérèse REDEL (épouse Courouve), Marie Louise RICHARD (épouse Bailly), Anne Hortense WATRIN (première épouse Purzycki), Jacominette SOLLACARO (épouse Coggia).


G 4 : Arrière-grands-parents (ou bisaïeux) : Jeanne Albertine Marie BAILLY (épouse Daubert), Marie Françoise COGGIA (épouse Olivieri), Justin Jean Nicolas COUROUVE, Jules Ambroise DAUBERT, Amélie Athalie Marie DUTERTRE (épouse Éon), Édouard Jean Joseph ÉON, François Marie OLIVIERI, Reine Amélie PURZYCKI (épouse Courouve).


Génération 3 : Grands parents (ou aïeux) : Julien René Jules COUROUVE, Hélène Marie DAUBERT (première épouse Courouve), Joseph Henri ÉON, Magdeleine Jacqueminette Angéline OLIVIERI (seconde épouse Éon),




Ajaccio. Photo © Office de Tourisme d'Ajaccio / Jean HarixçaldeFiliatio


Filiation matrilinéaire (la seule certaine) :
Claude Courouve
Josette ÉON
Madeleine OLIVIERI
Françoise COGGIA
Jacominette SOLLACARO
Madeleine CORTICCHIATO
Catherine BASTELICA
Peregrina BARBIERI





mercredi 17 juin 2020

DONO (Don Sauveur PAGANELLI)

Mon grand-oncle Don Sauveur Dominique Antoine Paganelli, Dono pour les intimes (déformation du corse Donu), né le 4 août 1888 (acte n° 17) à 4 heures du matin à Sainte-Lucie-de-Tallano, canton de ce nom, Corse (actuelle Corse-du-Sud), décédé le 19 juin 1979 (acte n° 390) à 12 heures 30 avenue Napoléon III, à Ajaccio (Corse-du-Sud).Il fut universitaire, haut fonctionnaire et essayiste.


A / Généalogie
B / Biographie
C / Ouvrages publiés
D / Bibliographie



A / Généalogie :

Ses parents :
 - Marc Marie Paganelli, né à Sartène (Corse-du-Sud) le 6 juillet 1866 (vue 81D/143), commis auxiliaire puis employé des Postes et Télégraphes, puis comptable et fondé de pouvoir, et

 - Marie Françoise Orsatti, née à Ghisoni (Haute-Corse) le 4 octobre 1862, sans profession.
Marc Marie Paganelli était fils d'Antoine Marc Paganelli, laboureur et journalier, et d'Angèle Marie Olivieri, ménagère.
 - Mariage AM Paganelli x AM Oliviéri le 12 février 1866 à Sartène.


Antoine Marc (Anton Marco) Paganelli (1) né à Foce (Corse-du-Sud, arrondissement de Sartène, canton de Sartenais-Valinco) le 15 octobre 1829 (vue 69D/183), laboureur-journalier, fils de
 - feu Michel Paganelli décédé à Foce le 26 mai 1858 et de - feue Angèle Marie, décédée à Foce le 2 juin 1858,
ET
Angèle Marie Olivieri, née à Zérubia, canton de Scopamèna, arrondissement de Sartène, le 8 mars 1827 (vue 76G/237), fille de
 - Louis Olivieri, né en 1790, décédé à Zérubia le 15 mars 1829 (vue 96G/237) et de - Marie Félicité née Tramoni, née à Molo hameau de Sartène en 1791, décédée à Zérubia le 4 septembre 1854 (vue 44/126).
en présence des nommés Olivieri Alphonse 55 ans [né en 1811] propriétaire, frère de l'épouse et Paganelli Charles 42 ans frère de l'époux.


1. Secondes noces le 21 novembre 1877 à Sartène (vues 93D-94/150):
Paganelli Paul Marie, 28 ans, né dans la commune de Foce le 4 janvier 1850 (vue 100G/117), laboureur, fils majeur
 - du nommé Paul Marie Paganelli dit Antoine Marc, né vers 1825, journalier domicilié à Sartène, et de
 - feue Anne Marie née Andréani, née vers 1825
ET
la demoiselle Andréani Blanche Marie, 24 ans, née dans le courant du mois de novembre 1854 à Saint Michel territoire de Sartène, bergère, fille de
 - Paul Noël Andréani et de
 - Marie Angéline Alfonsi.

en présence de Paganelli Michel 24 ans frère de l'époux, Andréani Pierre Marie, 35 ans, frère de l'épouse.

Marie Françoise Orsatti était la fille de Don Sauveur Orsatti (d'où le prénom de mon grand-oncle), né en 1822 à Sainte-Lucie-de-Tallano,
(fils légitime de Orsatti Jean Augustin et de Marie Françoise Quilichini),
maréchal des logis de gendarmerie à pied, décédé à Sainte-Lucie-de-Tallano le 8 septembre 1870 (vue 217D-218G/229), et d'Angèle Marie Filippi, propriétaire, demeurant à Sainte-Lucie-de-Tallano.

Mariage MM Paganelli x MF Orsatti le 18 avril 1887 à Sartène (Corse-du-Sud), acte N° 10.


Village natal du grand-oncle Dono,
Sainte-Lucie-de-Tallano (Corse-du-Sud)


B / Biographie :

Études au collège Rollin (devenu depuis lycée Jacques-Decour) de Paris et à la Faculté de lettres (Sorbonne) de Paris. 

1908 :


Mariage le 11 juillet 1919 à Paris IIIe arrondissement à trois heures du soir avec la sœur unique de ma grand-mère corse Marie Madeleine, Jacqueminette Baptistine Olivieri (née le 24 juin 1895 à Ajaccio, sans profession, décédée le 18 janvier 1984 à Ajaccio.), " Tantine " pour les intimes. Ils n'ont pas eu d'enfants.
Témoins du mariage :
Louis Ornano, 59 ans, chef de service dans une compagnie d'assurances, oncle de l'époux ;
Alphonse Olivieri, 29 ans, interne en médecine, cousin de l'épouse ;
Édouard Éon, 47 ans, carrossier, beau-frère de l'épouse ;
Paul Olivieri, 30 ans, inspecteur au Contentieux du Phénix espagnol, cousin de l'épouse.

Domicile parisien : rue d'Orsel, 18e, puis Bd du Temple, 3e. Agrégé de lettres classiques, il fut notamment professeur délégué au lycée Charlemagne à Paris en 1919 puis au lycée de Reims (Marne) jusqu'en 1922, inspecteur d'académie du Gard, et inspecteur général (lettres) de l'Enseignement secondaire.

Il fut aussi résistant (contact dès décembre 1942, action individuelle jusqu'en janvier 1944, entre alors au Front national), puis il fut le 56e préfet du Gard : d'abord désigné dans la clandestinité par le MLN et le Front national pour occuper ces fonctions, puis nommé par le général de Gaulle à la Libération, du 25 août 1944 jusqu'à sa démission le 1er février 1946 ; il participa assez activement à l'Épuration.

« Il fallait faire vite, aussi a-t-on improvisé, et les groupes de résistance, les F.F.I., la police, chacun pour son compte, ont arrêté ou libéré suivant leurs tendances et leurs vues strictement personnelles. » Rapport au ministre de l'Intérieur, début octobre 1944, cité dans Henri Amouroux, La Grande histoire des Français après l'Occupation, tome 9, pages 250-251.



Une rue de Nîmes porte son nom depuis juin 1994.
Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 08/11/1920 avec prise de rang le 16/06/1920 sur proposition du Ministère de la Guerre, en qualité de lieutenant hors cadres.
Officier par décret du 19/05/1924 avec prise de rang le 28/02/1947
Commandeur par décret du 02/03/1947, sur proposition du ministère de l'Éducation Nationale en qualité d'inspecteur général de l'enseignement du second degré.

Il fut président de l'Académie de Nîmes en 1945, 1654 et 1960 :
Bulletin des séances, Séance du 2 février 1945

Séance du 16 novembre 1945 :
Procédant à la réception de M. Dupont, M. le Préfet Paganelli s'exprime ainsi :
Monsieur, « Souffrez, dès l'abord, ce vocable protocolaire et froid, que le frère doit dire au frère et l'ami à son ami, dans une réception comme celle-ci et souffrez aussi que, sans attendre, je déclare, dès le début de cette trop modeste allocution, tout l'attachement que je vous ai, — discret, profond et de longue date. Vous rappelez-vous, en Alès, certaine matinée d'il y a. vingt ans, — guère moins, — où un jeune professeur de talent, d'une élégante distinction, à la ,parole simple, aisée, au regard clair et lumineux, à la ferveur contenue mais communicative, faisait gravir à de jeunes lycéens, dans un enthousiasme appollinien, aux flancs de l'Acropole, les hauteurs du Parthénon ? Par un privilège dont, jamais, plus que ce jour-là, je n «ai apprécié la faveur, j'étais à vos côtés, rajeuni, et de cette heure ensoleillée date notre connaissance. Nous nous sommes retrouvés plus voisins et plus familiers à Nimes ; j'y ai suivi des yeux et du cœur votre ascension universitaire et, avec tous ceux que le vrai, que le rare mérite enchante et satisfait pleinement, ainsi qu'une victoire de l'homme sur la fortune, je me suis félicité de vous voir monter, vous la modestie par excellence, à votre place, la première, dans une chaire de l'Enseignement Supérieur, tout comme je me félicite et comme nous nous honorons tous de vous accueillir au sein de notre Compagnie, à ce siège qu'occupait noblement Monsieur Jacques Sagnier. 1 Il était la distinction même et son érudition raffinée, qui sentait son siècle et sa race, nous le rendait précieux en même temps que cher ; que notre souvenir ému, ce soir, se tourne vers lui et salue ses mânes, telle une invisible présence. Dirai-je, Messieurs, pour recevoir son successeur, dans l'appareil et l'apparat d'un discours, ce que la science et l'histoire doivent à Monsieur Dupont ? Non, je ne saurais l'exprimer avec compétence et d'ailleurs vous le savez assez de vous-mêmes. Formé aux disciplines sévères, nuancées et, — quoiqu'en dise le trop sceptique Renan, — aux disciplines positives de la recherche, notre nouveau confrère nous a donné, il donne au Languedoc, comme tant d'autres de ses fils, sa part et une belle part. Plus encore que votre carrière, plus même, que votre œuvre d'historien, ce que séduit et retient en vous, mon cher ami, c'est le sentiment, — la certitude bienfaisante que l'on acquiert à votre contact, — que vous êtes non seulement un humaniste mais un homme, — de ces hommes qui nous manquent tant en cette époque de désarroi ; oui, la certitude le sentiment que, quelle que soit votre culture, en raison même de son élévation, vous faites passer l'humanité avant les humanités ; aussi bien ne devraient-elles pas être toujours inséparables et se fondre, harmonieuse et vivante synthèse, dans cette « humanitas », dont parle et que vante avec amour ce gréco-latin, avant la lettre, qui s'appelle Cicéron. Jadis, en des temps très anciens, on parlait des têtes bien pleines et des têtes bien faites ; il nous suffirait peut-être aujourd'hui qu'elles fussent bien droites et que la notion, la simple notion de bon sens ne fût point altérée ou perdue. Que de productions, que de manifestations, en France ou a l'Etranger, dans tous les ordres d'activité, — la technique exceptée, — qui donnent une piètre idée et de nos cerveaux et de nos cœurs ! Les traits d'une bêtise savante, perfectionnée, prétentieuse, aux essais absurdes et malsains pour notre hygiène générale, sont innombrables ; mais à quoi bon découvrir le mal, si ce n'est pas pour en guérir ? Mes chers confrères, je vous dois des excuses et encore plus de regrets ; en remerciant et en félicitant Monsieur le Colonel Blanchard de sa présidence, j'avoue que je l'ai plus d'une fois envié : sera-ce un titre suffisant pour mériter votre indulgence et me faire pardonner ces quelques réflexions non découragées mais irritées ? Vous me pardonnerez tout à fait, je l'espère, quand j'aurai ajouté que je reviens de Paris, que j'y ai vu le Louvre s'éveillant de sa longue léthargie et retrouvant, avec la foule des adorateurs, l'élite des connaisseurs : n'y a-t-il pas là, mon cher ami, Messieurs, un signe, entre tant d'autres, un signe et un témoignage de résurrection ? ».

Séance du 25 janvier 1946 :

« M. le Président sortant Paganelli s'étant excusé de ne pouvoir assister à la séance, M. le Colonel Blanchard, nouveau président, remercie ses confrères de l'avoir élevé à cette présidence. Mes chers collègues, « Dans une Académie telle que la nôtre, il est d'usage que chaque année les membres du bureau, entrant en fonctions, soient installés par le président du bureau sortant. Cette année-ci, à titre exceptionnel, il n'en sera pas de même. Ne croyez pas qu'il s'agisse d'un coup de force des nouveaux venus ou d'une entorse volontairement donnée .par eux à nos statuts. Non pas, rassurez-vous; la raison en est bien plus simple. Notre président sortant, M. Paganelli, qui a eu à faire face si longtemps à des obligations écrasantes, a été obligé de s'absenter aujourd'hui, comme il le fera après-demain, jour fixé pour notre séance publique. Nous le regrettons vivement ; car, nous perdons, à deux reprises, l'occasion d'entendre sa parole chaude et vibrante ; et particulièrement, dans la séance de ce jour, nous sommes privés du plaisir que nous aurions eu à lui adresser ici, dans l'intimité, nos respectueuses félicitations pour la sagesse et la fermeté avec laquelle il avait su administrer notre département dans des circonstances particulièrement difficiles.»

Séance du 22 janvier 1954 :
M. Dupont :
« Je rentre dans le rang en toute sérénité, avec le sentiment que ma succession est recueillie par une personne de qualité. Je n'ai pas à faire l'éloge de M. l'Inspecteur Paganelli qui est connu de nous tous et dont le renom dépasse largement les limites de cette salle et de cette cité. Sa vaste et sûre érudition ; ses connaissances extrêmement étendues, son humanisme courtois ; l'inlassable activité qu'il a déployée et qu'il déploie dans tous les domaines ; l'autorité souple et ferme dont il a su faire une heureuse application dans des circonstances parfois délicates ; son passé d'universitaire et de chef, sont le gage d'une présidence dont notre Compagnie, j'en suis convaincu, retirera le plus grand profit. C'est donc avec le plus grand plaisir que je le prie de vouloir bien occuper le fauteuil présidentiel. »

D. S. Paganelli :
M. Paganelli prend alors la parole. « Monsieur le Président, Mes chers confrères, L'honneur qui m'est fait, ce soir, pour toute une année, j'en apprécie, croyez-le bien, et la qualité et la portée. Et j'aurais voulu que ce bref remerciement ne vous parût pas trop indigne des suffrages que vous m'avez si libéralement apportés ; retenez du moins, je vous prie, la sincérité de mon intention comme la force de ma gratitude. Vous dirai-je, Messieurs, que cette installation me donne l'impression quant à moi d'une seconde investiture académique ; agréable rajeunissement, mais illusion coupable. A quelque chose retard est bon, cependant, puisque ce fauteuil, dans lequel je suis invité à m'asseoir, je le reçois, si je puis ainsi parler, je le reçois des mains d'un ami, le Président André Dupont, que j'eus, vous le savez, le privilège, avec la profonde satisfaction, d'accueillir dans cette enceinte, le 8 Juin 1945, en une heure d'éphémère présidence. Messieurs, dussé-je vous paraître immodeste, dès rencontres de cette nature, si je ne.. saurais les dire providentielles je ne puis les estimer fortuites : laissez-moi croire, Messieurs, que l'harmonie préétablie peut avoir d'humbles, mais non moins réconfortants effets. Depuis huit ans, vous avez pu juger combien lut heureuse la cooptation de cet homme de science et de talent, aussi généreux de cœur que d'esprit, qui honore sa petite patrie cigaloise, la grande métropole de Némausus et tout cet État de Languedoc, dont il est l'historien vivant, le fils aimant. Votre succession, cher ami, m'impose une double obligation, facile, douce, pour ce qui est de vous exprimer, et avec chaleur, en notre nom à tous, les félicitations, la reconnaissance que vous vaut, que vous vaudra, dans les annales de notre Compagnie, votre belle année de charge ; l'autre, dangereuse, qui est, précisément, de vous remplacer et dont la perspective ne laisse pas de me troubler...
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Mes chers confrères, vous tous que je vois couronnant cette table, centre et symbole de vos travaux ; anciens et nouveaux membres de l'Académie de Nîmes, je vous assure de mon dévouement et de mon assiduité ; permettez-moi de me tourner, en toute amitié, vers le Bureau que vous avez élu et de saluer nommément, votre Vice-Président, Monsieur Hubert-Rouger, heureusement rétabli ; votre Secrétaire perpétuel, Monsieur Emmanuel Lacombe, à l'expérience et à l'autorité de qui je ferai, sans cesse, appel ; je leur dis cordialement, je vous dis à tous : pour le renom de notre Compagnie, pour son labeur à venir, sinon « ad multos aunos » (encore que nous soyons immortels) ; du moins « ad multos » et félices-menses ; oui, de longs mois, et féconds et heureux ».

Séance du 23 avril 1954 :
Il est procédé à la réception de M. Barnouin. M. Paganelli l'accueille en ces termes : « Monsieur, L'Académie de Nimes s'est constamment honorée de compter, dans son sein, des magistrats ; à votre tour, vous venez vous insérer dans la haute lignée de la Justice ; et votre élection nous vaut le privilège de poursuivre une tradition avec la satisfaction d'accueillir une personnalité marquante. Retracerai-je votre carrière} ? Je ne le saurais, car votre concision et votre modestie m'ont mesurés les détails et les précisions. Je dirai seulement que vous êtes magistrat depuis 1913. On le demeure, vous le savez, toute sa vie, en vertu de cette ordination intime qui se trouve à la source ainsi qu à la base des grands Ordres. Si vos préférences furent toujours pour cette magistrature debout, dont la tâche, parfois rude dans sa noblesse, vous avait une fois pour toutes conquis, lorsque vous avez pris place au Tribunal et à la Cour, vous y avez apporté, également, et votre savoir de juriste et votre expérience d'homme. Dans des circonstances difficiles, en des heures douloureuses, vous avez témoigné d'une belle indépendance, d'un grand courage, au point d'en être victime. Qu'importe,' ! la conscience était satisfaite. Vous vous êtes souvenu, sans cesse, que l'impartialité, la sérénité, — sinon l'impassibilité —, doit être la qualité souveraine du Juge et du Jugement. La passion, d'où qu'elle souffle, est, comme la colère, une courte, mais terrible folie. Dès 1937, à l'Audience solennelle de Rentrée, vous avez prononcé un discours magistral sur l'Assassinat du Maréchal Brune : Le 2 Août 1815, en Avignon, dans une période de Terreur, — blanche ou rouge elle est toujours le Crime, — le Maréchal Brune avait été assassiné ; les magistrats avaient conclu au suicide ; quatre ans après, — après avoir réuni assez de preuves, — la Maréchale présentait au roi sa requête et le Procureur Général près la Cour royale de Nimes ordonnait des poursuites ; ce fut la Cour de Riom et le Procureur général Pagès qui « soulevant le voile d'iniquité » reconnurent que le Maréchal Brune, avait été assassiné. Vous avez vous-même écrit, Monsieur, en conclusion de votre étude, que « ce douloureux épisode comportait certainement des enseignements profitables ». Je n'en dirai pas plus. Je rappellerai seulement ce que M. le Procureur Général, en 1937, déclarait, après votre discours il citait les instructions de M. le Garde des Sceaux : « Il n'est pas sans intérêt qu'au cours d'une audience solennelle un magistrat, prenant la parole en présence des autorités civiles et militaires, du barreau, des auxiliaires de la Justice et de l'élite de la société locale, témoigne, par une dissertation érudite et élevée, de l'aptitude et du goût de la magistrature pour la science du droit et les choses de l'esprit». Et M. le Procureur général de conclure : « M. le conseiller Barnouin a répondu pleinement aux préoccupations de M. le Garde des Sceaux et prouvé que la science du droit savait s'allier chez lui au goût des choses de l'esprit. Son étude très fouillée d'un sujet particulièrement intéressant de notre histoire a fait revivre, de façon saisissante, un des épisodes les plus émouvants de cette terreur Blanche, qui a fait tant de victimes dans nos régions. Il l'a fait sobrement, avec le seul souci d'être à la fois impartial et juste ; il a pleinement réussi ». Je me permets d'ajouter : il a pleinement réussi dans le fond et dans la forme. Monsieur, en 1910, âgé de vingt-trois ans, vous faisiez vos premières armes sous la direction et l'autorité d'un Administrateur de grande classe, M. 'le Préfet Maitrot de Varenne ; pendant la Grande Guerre, durant 43 mois de front, vous avez combattu dans les rangs de cette Infanterie sublime et martyre, dont on n'exaltera jamais assez le sacrifice ; si vous êtes né en Algérie, et c'est une patrie adoptive dont vous pouvez vous montrer fier, vous n'en êtes pas moins de souche gardoise, tant et si bien que les traditions régionales voire régionalistes et l'histoire locale ont votre amour ; et nous espérons bien goûter prochainement ce que vous appelez votre essai sur .le village de Sauzet, votre village. Et, par là encore, vous rejoignez votre prédécesseur Henry Bauquier. Prenez donc place à ce fauteuil qu'il a illustre et soyez, mon cher confrère, le bienvenu parmi nous »

Séance du 21 janvier 1960 :
« Monsieur le Président, Mademoiselle, Messieurs, Sur le point de m'asseoir de nouveau à votre fauteuil présidentiel, j'éprouve, — comment ne pas l'avouer, dès l'abord — sinon des scrupules, du moins des regrets et une crainte. Je vous les dirai très simplement ; mais permettez que je commence par vous remercier de l'honneur, de la confiance et de l'amitié que votre désignation me manifeste. Je ne les mériterais guère, si votre indulgente et compréhensive bienveillance ne suppléaient aux mérites qui me manquent et ne surestimaient les qualités que vous pourriez me reconnaître. Aussi bien, pourquoi des doyens, — comme moi, par l'âge, ou bien par l'élection, — notre Compagnie s'énorgueillit et se réjouit d'en compter de nombreux dans son sein, pourquoi n':ont-ils pas pu prendre place, aujourd'hui, au centre de cette table qui, d'évidence, tout ovale qu'elle soit, n'en est pas moins ronde. C'est mon regret et ma crainte de ne pouvoir vous apporter ce dont leur absence vous privera à coup sûr. Mon cher Président et ami, nulle investiture ne pouvait m'être plus agréable que celle de ce soir; confiée à vos soins, vous m'en remettez, vous m'en transmettez la charge ainsi que le bénéfice. Vous succéder ? certes ; vous remplacer? assurément pas. Vous ne l'ignorez pas, Messieurs, chacun de nous colore son activité, voire son action, des nuances ou des reflets multiples de son tempérament propre ; et cette vision prismatique, sans devenir jamais un jeu, encore moins une illusion, n'est dépourvue ni de charme ni de profit ; elle constitue la singulière originalité de nos modestes sociétés, dites savantes, où la science, sans l'appareil ou l'apparat de ce qu'on nomme les spécialités, s'appelle, le plus souvent, réflexion, sagesse, personnalité. Avec notre sens de la mesure et de l'ironie, grâce à votre courtoisie d homme et d'humaniste, mon cher Président, vous avez tout au long de ces douze mois, conduit notre Compagnie comme elle doit l'être, activement, libéralement, dans une mutuelle et fraternelle intelligence de nos fins et moyens respectifs ; à fa haute et vivifiante atmosphère des « templa serena ». Soyez félicité. Chers confrères, souffrez, je vous prie, que, par ma voix, nous témoignions à notre Président nos sentiments unanimes d'affectueuse gratitude. Messieurs, les lettres de noblesse, exceptionnelles, de notre Académie, lui créent des devoirs hors série. Je sais de quelle conscience avertie vous y répandiez, et animés de quelle fierte ! La sévérité de vos choix, le sérieux de vos travaux, le prestige de votre renom, tout concourt à ce rayonnement qui demeure votre, ambition. Que, demain, nos portes s'ouvrent, encore, à d'autres mérites ; que, sans les rechercher, nous ne perdions aucune de ces occasions qui sont la moitié de l'influence ; mieux, de l'ascendant qu'il nous faut légitimement exercer ; que nos liaisons, que notre collaboration méthodique se fassent de plus en plus suivies et effectives, avec le monde de l'esprit, avec le monde de l'âme, ici et ailleurs. Une Académie, nous le pensons tous, ne saurait être un théâtre ; elle ne doit pas rester un cénacle. M. le Président, mes chers confrères, vous me pardonnerez, j espère, ces quelques réflexions ou souhaits, à peine des anticipations, puisque tout cela est déjà en train et qu'il nous suffirait, Messieurs, de lui imprimer une plus grande accélération. »

Séance du 18 novembre 1960 :
Il est ensuite procédé à l'installation de M. le Chanoine Homs.
M. le Président Paganelli l'accueille ainsi :
« Marseillais d'origine, Gardois d'adoption, Nîmois d'élection ;
Helléniste de culture; professeur par vocation, orateur car conviction ;
Combattant des deux guerres et capitaine d'artillerie ;
avant tout, au-dessus de tout, prêtre, prêtre au service des âmes et de votre saint-ministère ;
Tel vous voient, Monsieur le Chanoine — et vous admirent — ceux qui vous connaissent ;
tel vous estiment et vous louent ceux qui apprennent à vous con- naîtra... Oui, Marseille-Saint-Victor, Marseille-Notre-Dame-de-la-Garde, chères et douces images, hautes résonances de votre cœur d'enfant ou d'adolescent, demeureront toujours associées, dans la fidélité du souvenir, au grand nom universitaire d'Aix-en-Provence. C'est d'abord le Petit Séminaire de Beaucaire qui devait vous prendre, cultiver et épanouir votre jeune saison, « spes messis in semine » ; vous deviez, un jour, par votre professorat, lui rendre en science et en dilection, tout le bienfait que vous aviez reçu de ses )maîtres.
En 1920, vous quittiez Beaucaire pour Nîmes, — et la chaire de Philosophie de Saint-Stanislas : durant vingt années, la qualité de vos dons le disputera à la durée; de vos leçons.
N'aviez-vous pas, à Aix, suivi l'enseignement accepté l'empreinte d'un Blondel ? Et ne semble-t-il pas que ces lignes aient été écrites pour vous ? ...
« Notre vie est faite de problèmes qui se posent et s'imposent à nous du dedans et du dehors, — du dehors peut-être plus encore que du dedans —, et que, pour le salut de notre corps et de notre âme, il nous faut avoir effectivement résolus en temps utile. Le terre à terre de nos occupations quotidiennes; l'habituelle placidité de notre horizon ont beau nous voiler ce que l'existence a avant tout de dramatique, nous sentons ' bien qu'une activité faite de programmes, une volonté réduite à des décrets, un vouloir enfin, qui ne serait pas un agir, — tôt ou tard, nous conduiraient, matériellement ou moralement, à la catastrophe et à la mort ».
Mais la pensée du philosophe si attachante qu'elle fût, ne vous détournait pas de vos études grecques ; elles devaient vous valoir, aux examens de la Licence ès lettres, un succès éclatant, exceptionnel. C'est ii vous que M. Fougères, Directeur de l'Ecole française d'Athènes, fit offrir une Bourse de séjour ; insigne honneur qui fut décliné, bonne fortune intellectuelle qui fut refusée, parce que vous vouliez servir, de nouveau et sans délai, dans les cadres du clergé diocésain.
La Ville et l'importante paroisse de La Grand'Combe vous ont retenu cinq ans ; Saint-Baudile vous retiendrait encore si votre état de sante l'eût permis et s'il, n'avait tenu qu'à vos paroissiens, — à d'autres aussi... Vous aviez fait de Saint-Baudile la Paroisse de Nîmes, — dont le Bulletin rayonnait au-delà et où l'on venait vous entendre ; goûter votre parole claire, apprécier la netteté de vos idées, la rigueur de votre logique. Profonde harmonie d'un tempérament de chef, à la volonté éclairée et tenace, — qui ne parle pas pour parler, n'écrit pas pour écrire, mais va droit au but comme au devoir ; au réel quotidien comme à l'idéal immuable ! Directeur de l'œuvre liturgique « du Suffrage », — grande œuvre, catholique, s'il en fut, dont l'universalisme convient à votre esprit de synthèse et d'humanisme, en même temps que de divine Charité, — vous lui apportez, vous lui consacrez et votre Foi et votre Espérance. Promoteur de valeurs spirituelles, — qu'elles soient de l'ordre terrestre ou de l'ordre céleste, qu'elles s'appellent l'Église ou la Patrie, — sans cesse, loin de composer avec les complaisances ou les lâchetés, loin de capituler, vous maintenez le Drapeau ; vous prônez ces richesses morales de vérité et de beauté, dont l'historien Thucydide disait déjà qu'elles sont un lien durable, une acquisition pour l'éternité. Noble exemple, rare modèle d'élégance et de conscience, mon cher confrère, — notre Compagnie ne pouvait vous ignorer ni manquer de vous honorer ; recevez donc, je vous prie, notre investiture académique ». 

* * * * *

Je l'ai connu surtout lors de vacances d'été à Génolhac (Gard), avec ma mère. Il n'était pas catholique (à la différence de sa femme), je le soupçonne d'avoir été franc-maçon. Ma mère était la dernière de quatre enfants ; pour soulager ma grand-mère, Dono et sa femme Jeannette, qui n'avaient pas pu avoir d'enfant, ont élevé ma mère pendant plusieurs années. Le retour chez ses parents, vers l'âge de 4 ans, fut une rupture douloureuse pour ma mère ; par la suite, Dono l'aida à s'orienter dans ses études ; notamment, il lui enseigna le grec ancien pendant l'été 1936 précédant son entrée en hypokhâgne (Lettres supérieures au Lycée Fénelon, Paris, VIe). Influence intellectuelle dont j'ai bénéficié indirectement. Dono fut mon troisième grand-père...

Ma mère m'avait dit qu'il eut une liaison avec une demoiselle Soboul, tante de l'historien Albert Soboul. Il s'agit de Marie Victorine Rose Soboul, née en 1884, professeur à l'École normale d'institutrices du Gard depuis 1909 et directrice de cet établissement en 1926.


Un dossier de carrière est conservé aux Archives nationales, site de Paris, 60 rue des Francs-Bourgeois :

Professeur au lycée de Reims (Marne)
Fin du dossier : 1922
Cote
AJ/16/1336
Sorbon : Pers. scient. et adm. Académie de Paris (1870-1940) AJ/16

Préfet du Gard
Date du dossier
1945 ; 1956-1958
Démissionnaire le 1er févr. 1946
Cotes
F/1bI/822  et F/1bI/1103
Personnel de ministère de l’Intérieur (XIXe-XXe s.)

Inspecteur général de l'enseignement secondaire
Cote
F/17/25339
Enseignants et personnels scientifiques de l'Instruction publique XIXe-XXe siècles

D'autre part, un autre dossier (que je n'ai pas encore pu consulter) est conservé sous la cote CA 780 aux Archives départementales du Gard, 20 rue des Chassaintes, Nîmes.


C / Ouvrages publiés :

Un petit-fils de Renan, Ernest Psichari, Saint-Raphaël : Éditions des Tablettes, 1923.

Édition et traduction du poète latin Properce (vers -47/vers -15), Élégies, Paris : Belles Lettres, 1929 (rééditions en 1947, 1961, 1964, 1980, 1990, 1995).




En collaboration avec Georges Prévot, Textes anciens traduits en français, lectures suivies et dirigées pour la section moderne des classes de 6e, 5e, 4e, 3e des lycées et collèges et pour les cours complémentaires, Paris : Delagrave, 1950. 
Ernest Renan, Uzès : Ateliers Henri Péladan, 1966.
Jean Racine, Uzès : Ateliers Henri Péladan, 1966.
Laurent Spadale, 1914-1971, Uzès : H. Peladan, 1972. (Laurent Spadale fut sous-préfet de la Libération d'Alès).


D / Bibliographie :

René Bargeton (1917-2007), Dictionnaire biographique des préfets, Paris : Archives Nationales, 1994, sub nomine.

Patricia Boyer, « L'épuration et ses représentations en Languedoc et Roussillon (1944-1945) », Vingtième Siècle. Revue d'histoire, n° 68, octobre-décembre 2000, pages 19, 24, 26.

J'ai créé sa Notice wikipedia ; un contributeur anonyme y a ajouté l'appartenance à l'Académie de Nîmes.